(ANS – Hyderabad) - Le 18 juillet a été présenté le site Internet du “Juvenile Justice Network” - web www.jjindia.net – dont le centre de coordination se trouve à Vijayawada, dans l’État indien de l’Andhra Pradesh. 

Par cette structure, le “Juvenile Justice Network” espère d’obtenir la participation de nombreux membres du Gouvernement, d’ONG et d’autres réalités afin d’améliorer les conditions de vie des enfants de l’Inde. Le nouveau site offre au network une plate-forme plus forte pour partager, offrir et utiliser les informations et les ressources.

L’Inde est la nation qui le nombre le plus élevé d’enfants au monde, plus d’un tiers sa population est âgée de moins de 18 ans; environ 40% de la population, c’est-à-dire 440 millions, est constituée par des enfants. La Constitution de l’Inde prévoit pour eux une enfance saine et sure, libre d’abus et d’exploitation. La réalité de la vie quotidienne de nombreux mineurs est cependant différente. La situation difficile de certains cas, surtout dans le rapport mineurs et système judiciaire, requiert des interventions de protection des mineurs dans toute la nation. 

C’est précisément pour tenter de résoudre cette problématique qu’est née l`idée de créer un réseau d’organisations et de personnes qui, partageant la même perspective, interviennent d’une manière coordonnée plutôt que de réaliser des interventions sporadiques et isolées. Le “Juvenile Justice Network” si propose de construire un réseau pour le partage des expériences, d’analyser d’une manière critique les lois sur les mineurs, d’intervenir dans les politiques d’assistance et dans la supervision de l’application du système judiciaire pour les mineurs.

Le réseau a déjà entrepris quelques initiatives en référence à la réalisation des Objectifs du III Millénaire avant la fin de 2015. Significative la contribution offerte par le père George Kollashany et le père Koshy Thomas, tous deux salésiens, en collaboration avec le “National YaR forum, monsieur Sony George, de l’UNICEF, madame Arlene Manoharan, chercheur auprès du “Centre for Child and Law”, et d’autres personnes.

Publié le 24/07/2008