(ANS – Séoul) – Environ 300 membres de la Famille Salésienne de la zone de Séoul se sont retrouvés à la Maison provinciale samedi dernier, 18 avril, pour réfléchir sur la spiritualité de Don Bosco et son application au jour d’aujourd’hui, passant toute une journée de partage et de joie dans un climat de famille.
La journée s’est ouverte par une prière et par la présentation de la part des Filles de Marie Auxiliatrice, qui ont donné, tout de suite, une atmosphère agréable et simple. Successivement on a donné à tous les présents une petite feuille où ils devaient compléter la phrase « La spiritualité salésienne est….. » pour l’échanger avec les autres et approfondir ainsi les visions réciproques.
Parmi les commentaires les plus surprenants qu’on a lu : « la spiritualité salésienne est comme le ‘fast food’ : c’est ce que préfère les jeunes » ou bien « c’est une assurance sur les biens et les services, car, même si on vieillit, on peut toujours vivre heureux et avec un esprit jeune » ou encore « c’est comme Internet, parce que la plupart des jeunes y sont dedans ».
Les activités ont continué avec une conférence du P. Bernard Lee Junseok, sur l’Etrenne du Recteur Majeur pour 2015 et une réflexion sur le Bon Pasteur qui donne la vie pour ses brebis. Don Bosco a été montré comme exemple de cette figure parce qu’il a consacré toute sa vie aux jeunes, travaillant pour eux et vivant à leur côté. Et l’Etrenne du Recteur Majeur a été indiquée comme la méthode pour mettre en pratique ce rôle.
Après le repas partagé, chaque groupe de la Famille Salésienne a animé un bref spectacle, et comme sommet de la journée, le P. Stefano Yang, Provincial des Salésiens en Corée du Sud, a présidé l’Eucharistie. Dans l’homélie, il a dit que « même si nous vivons dans une génération de grande douleur et épreuves, nous devons être porteurs de l’espérance et de l’optimisme de Don Bosco ». Il a ensuite ajouté : « En cette année, imprimons profondément dans nos cœurs ce message ‘ ce sont les pauvres qui nous sauveront’ », concluant avec la promesse de se dépêcher à sortir vers les périphéries, pour aller à la rencontre des jeunes les plus besogneux.
Publié le 23/04/2015