La BDH est une application en ligne de la Bibliothèque nationale espagnole (BNE) (www.bne.es) qui fournit l’accès libre et gratuit à des milliers de livres numérisés. Selon le site Internet de la Bibliothèque, les œuvres actuellement présentes sont au nombre de 17.500. En même temps, la Fédération des Maisons d’édition e la BNE ont donné vie au projet “Enclave”, qui met à la disposition du public payant des œuvres sujettes au droit d’auteur. Parmi les nombreuses maisons d’édition qui participent au projet, il y a également les éditions salésiennes CCS et Edebé.
En base aux donne fournies sur l’avancement du projet Enclave, qui comprend 1.100 titres, en ces premiers mois de fonctionnement de la plateforme le nombre d’accès aux différentes sections s’est considérablement accru.
Parmi les 60 livres les plus consultés dans toute la BDH, à la 3ème, 4ème, 5ème et 8ème place sont présents des livres publiés aux éditions salésiennes CCS. Il s’agit plus précisément des œuvres: “Les chrétiens dans l’histoire”, “Le cri des adolescents”, “30 conseils pratiques pour éduquer aujourd’hui” et “En navigant sur les mers de la solidarité”.
En accédant au site de la BDH ou au site du projet Enclave, il est possible de consulter quelques passages des livres et d’accéder à la plateforme de distribution des livres numériques, où il est possible de les acheter: dans le caso de la CCS, sur le site Internet www.todoebook.com. Ici, l’on peut consulter le catalogue d’une centaine de livres numériques des éditions salésiennes concernant Don Bosco, la pédagogie salésienne, l’éducation et la Pastorale…
Conscientes que les livres numériques sont le pari de l’avenir, les éditions CCS travaillent pour être présentes dans les nouveaux formats dans lesquels la culture est offerte. D’ailleurs, le fondateur des salésiens, saint Jean Bosco, a toujours voulu être à l’avant-garde de la technologie en matière de communication. À la moitié du XIX siècle, il promut la presse, créa des ateliers d’arts graphiques et participa à des expositions industrielles pour ne pas rester en arrière dans celle qui, à l’époque, était la dernière nouveauté de la communication.
Publié le 17/02/2010